Les déités Richesses

Astrologie chinoise BaZi

Les déités Richesses

Formation à distance – Extrait #4

Voici de nouveaux extraits de la formation à distance. Cette fois-ci, ils sont tirés à la fois du Tome 1, du Cours 06 sur les aspect et du Tome 2, du cours 11 sur les déités.

Le sujet principal de ces extraits est l’aspect Richesses et les deux déités qui en découlent. C’est un aspect souvent méconnu des étudiants car il est certainement le plus difficile à aborder.

Extrait Tome 1

L’aspect Richesses

L’élément que le MJ contrôle.

Le contrôle sur le monde.

Les Richesses représentent ce que le sujet contrôle, c’est sa main mise sur le monde extérieur.

En premier lieu, l’aspect Richesses symbolise bien ce qu’il exprime : l’argent. C’est la fortune, la monnaie sonnante et trébuchante, la prospérité financière. L’argent vient de ce qu’on est capable de maitriser pour l’acquérir, et nous avons besoin de le contrôler pour le conserver. C’est en observant cet aspect que l’on pourra jauger de la capacité de la personne à s’enrichir dans sa vie. Mais je mets souvent en garde mes étudiants, car il ne faut pas prendre cela au pied de la lettre. L’analyse de la prospérité financière est très compliquée, elle demande une observation, une technique et une maîtrise élevée de l’Art du BaZi. C’est très loin d’être aussi simple que le fait d’observer le nombre d’occurrences de l’aspect Richesses dans la carte. Vous pourrez vous-même vous rendre compte facilement, en étudiant différentes cartes de naissance, que certaines personnes ne sont pas prospères alors qu’elles ont un aspect Richesses très présent dans leur thème. Et le contraire est également vrai. Il ne faut néanmoins pas oublier cette dimension d’argent et de prospérité financière, mais il convient d’aller bien au-delà.

Richesses est certainement l’aspect le plus difficile à comprendre et à manipuler dans l’étude d’une carte BaZi. Il représente avant tout la faculté du sujet à maitriser les choses environnantes, ce sont ses capacités concrètes. Il y a une dimension de planification, d’anticipation et de prospective dans les Richesses. N’appelons-nous pas “prospecteur” celui qui cherche de l’or dans une montagne ? Richesses, en tant qu’aspect, examine, recherche, enquête, investigue et organise pour maitriser et contrôler. Ou au contraire, il fond sur sa proie pour la saisir d’un seul coup, pour la maitriser totalement, sans prévenir. Mais certainement avec une grande préparation en amont, une expérience et une intention mûrement réfléchie.

Les Richesses peuvent à la fois représenter le compte épargne, sans risque, tout à fait maitrisé, et à la fois la table de casino sur laquelle le sujet tente le banco, le quitte ou double. Il faut bien comprendre cette dimension de saisie, de main mise et de résultat dans cet aspect. Notre chercheur d’or creuse sans relâche, avec organisation et planification et, peut-être, tombe d’un seul coup sur un filon extraordinaire qui l’enrichit bien au-delà de ses espérances.

Dans Richesses, il y a maîtrise des risques et prise de risques. C’est l’aspect de la bonne fortune ou de la mauvaise fortune, au sens imagé du terme.

Les Richesses sont le résultat de nos actions sur le monde, elles sont le fruit du travail, que ce fruit mûrisse lentement ou en un seul instant. Comme elles représentent l’activité de contrôle sur l’extérieur, elles induisent une forte dimension de sociabilité. Elles peuvent incarner la prospérité sociale, c’est-à-dire la célébrité. Il y a un côté flambeur dans cet aspect, avec une maîtrise de l’image, une exposition des talents et des capacités.

Notion de confiance.

Avec l’aspect Richesses, nous allons donc bien au-delà de l’argent. Nous pouvons parler de richesse intérieure, à savoir ce que le sujet se sent capable de maîtriser.

Cette maîtrise du risque et cette prise de risque évoquent la confiance qu’a le sujet en lui-même et dans ses facultés. C’est certainement ce qu’il y a de plus important à retenir dans Richesses, cette représentation de la confiance en soi.

L’excès de confiance, la table du casino, ou l’excès de prudence, le compte épargne, viennent tous deux de la qualité, de la présence et de la position des Richesses dans la carte de naissance. Cette confiance peut venir de l’extérieur, de la socialisation, elle peut être explicite, mais elle peut aussi trouver sa source à l’intérieur du sujet, être implicite. Dans tous les cas elle figure les rapports du sujet à son monde, à partir de ses actions.

Encore une fois, il ne faut pas tirer de conclusions hâtives et isolées. Un aspect Richesses fort ne représente pas la prospérité financière, mais non plus une confiance à toute épreuve. N’oublions pas que nous sommes là dans un rapport de contrôle, lequel peut s’inverser s’il y a rébellion (cours 01). Dans le cas où Richesses est beaucoup plus important que l’élément du MJ, qui contrôle qui ?

Nous verrons bientôt ces notions de forces.

Quoiqu’il en soit, nous trouverons toujours dans les Richesses ces dimensions de prospérité, de maîtrise, de risque, de socialisation et de confiance.

Extrait Tome 2

Les Richesses

Les Richesses sont représentées par l’élément qui est contrôlé par celui du MJ.

C’est un rapport vers l’extérieur, c’est le contrôle sur le monde.

Les Richesses ce sont l’argent, la fortune, la prospérité.

Mais ce sont aussi et avant tout les capacités concrètes du sujet. C’est le résultat tangible des actions, c’est le fruit du travail.

D’une manière générale elles représentent la maîtrise sur l’environnement, la gestion des risques et peuvent figurer la célébrité.

Une notion importante de l’aspect Richesses est la confiance en soi.

Les 2 déités associées à l’aspect Richesses sont :

Zheng Cai

Richesses Principales

Polarité différente de celle du MJ.

Pian Cai

Richesses Secondaires

Même polarité que celle du MJ.

Cai

Le terme chinois pour l’aspect Richesses est Cai. Il est intéressant là encore de s’y arrêter un instant. Le mot est composé de deux idéogrammes accolés.

Le premier est Bèi, il désigne un petit coquillage de l’océan indien appelé cyprée qui a très longtemps été utilisé comme monnaie d’échange, depuis le néolithique et dans un territoire très étendu. Nous avons là une origine qui remonte à la préhistoire et on comprend le rapport entre ce coquillage et l’aspect Richesses dans son sens premier (monnaie, argent). Ce terme seul, Bèi, a encore de nos jours le sens de précieux dans la langue chinoise.

Le second idéogramme est Cài qui est un caractère général pour signifier une capacité, un talent, une maîtrise.

Ces deux caractères accolés ont réellement le sens de fortune en chinois, c’est la traduction établie et pas seulement en BaZi mais dans le langage de tous les jours. Ce qui nous intéresse ici c’est la signification qu’il y a derrière cela. On pourrait dire que Bèi Cài, que l’on a réduit à Cai, est la maîtrise de la monnaie, la maîtrise du commerce et finalement la maîtrise de l’échange. On a donc bien un premier sens de l’aspect Richesses qui est celui de l’argent et de la prospérité, qu’il ne faut pas négliger mais qu’il convient de dépasser. Cai est surtout la capacité qu’il y a derrière tout cela, le potentiel du sujet à maîtriser ses interactions avec le monde. Le mot “commerce” par exemple, a dans notre langage une signification qui dépasse l’argent. Avoir commerce avec une autre personne indique que nous sommes en relation avec elle, relation qui n’induit pas d’affectivité mais un échange de procédés, une relation d’affaires au sens large. C’est dans cette optique que nous devons aborder l’aspect Richesses (que nous aurions pu nommer Commerces). Ce peut être l’argent, concrètement, mais dans un sens plus élargi c’est notre capacité à avoir une bonne ou mauvaise fortune dans nos relations avec le monde extérieur. Ce qui nous mène au concept de confiance en soi car il en faut pour contrôler les choses.

Zheng Cai

Richesses Principales

Nous avons déjà vu le sens du mot Zheng : droit, correct, conforme…

Zheng Cai est donc ce qui est acquis de manière irréprochable et droite. On voit souvent les termes Richesses Primaires, Richesses Principales ou Richesses Directes (Ri.Dir) pour les désigner. C’est ce que l’on maîtrise en conformité, sans opposition et sans condition. Les Richesses Directes correspondent à ce qui est contrôlé de manière fluide, c’est un contrôle accepté, qui va de soi.

Zheng Cai renvoie donc l’image d’un contrôle effectué avec douceur. Il y a moins dans cette déité l’idée de soumettre ou de brider que celle de contenir et d’enrichir. Les choses ne sont pas maîtrisées avec coercition mais avec consentement. Ce sont les Richesses conventionnelles qui sont le résultat d’un travail soutenu (Productions), d’un effort continu et régulier.

En termes d’argent, il s’agit de celui que l’on gagne par des moyens honnêtes, par le travail et la persévérance.

Si on porte un regard sur cette déité vis-à-vis de la confiance en soi, que les Richesses représentent, Zheng Cai incarne l’assurance que l’on acquière petit à petit en s’appuyant sur des bases solides.

Enfin, en s’intéressant à l’aspect social de Cai, les Richesses Directes sont la réputation issue de faits et d’actes visibles, d’une maîtrise démontrée à maintes reprises.

Tout cela induit que les Richesses Primaires s’inscrivent dans la pérennité. Zheng Cai fructifie, doucement mais surement. L’image que j’utilise avec les étudiants est celle du compte épargne. L’argent y est déposé régulièrement, les profits ne sont pas mirobolants mais assurés, les dépôts sont motivés par la sécurité et dans une perspective à long terme. Dans cette déité il y a une grande maîtrise du risque, les impondérables sont écartés au maximum et la gestion ne s’appuie en rien sur la chance ou le hasard. C’est l’image d’une maîtrise conventionnelle, qui s’inscrit dans le temps, qui est patiente et de ce fait, qui est solide. Zheng Cai n’attend pas de résultats rapides et exceptionnels, elle ne cherche pas le “gros coup” ni le “one shot”, elle cherche l’installation, elle veut prendre racine et faire fructifier.

Cette façon de procéder et de prospérer a plusieurs conséquences psychologiques possibles, plusieurs traits de caractères peuvent en découler.

Il y a dans les Richesses Directes un fort désir de contrôler, ce qui peut mener à être quelque peu manipulateur. Zheng Cai aime tirer les ficelles, elle veut que rien ne lui échappe et désire par-dessus tout garder la main. En excès cela peut être très désagréable pour les autres.

Cette déité porte aussi un intérêt particulier pour la fortune, les avantages, que ce soit les profits, les plaisirs sensoriels ou la gloire. Elle veut à la fois profiter des bénéfices et à la fois protéger ses acquis, sans risquer de perdre le moindre penny de son capital. Si on caricature, l’image de Zheng Cai en excès est celle du notable commerçant, gras et riche, connu et influent, qui compte ses sous dans la pénombre le soir après un bon dîner.

Mais pour ne pas rester dans la caricature et l’excès, les Richesses Principales, si elles sont fortes et utiles, mènent à un caractère indépendant et droit avec une grande richesse morale. C’est le supérieur hiérarchique, le patron juste et équitable qui inspire le respect et qui chaperonne bien ses salariés, même s’il reste néanmoins LE patron avec ses droits mais aussi ses devoirs.

D’une manière générale, Zheng Cai représente ce que le sujet possède et maîtrise en propre, indépendamment des opinions extérieures. C’est une dynamique conventionnelle certes, qui recherche des bénéfices pérennes, mais c’est surtout une démarche indépendante qui ne prend pas en compte les croyances, les jugements et les modes du moment. C’est un trait psychologique important à comprendre des Richesses Directes, elles agissent avec des références internes et non pas externes. Elles ont un caractère peu influencé par l’extérieur et l’image qu’elles projettent, ce n’est pas ce qui les motive. Cela peut prendre la forme d’une grande solidité et une grande intégrité mais aussi celle d’une forte insensibilité et de beaucoup d’indifférence de la part du sujet.

Les personnes qui ont une forte déité Zheng Cai dans leur carte seront donc souvent des caractères qui aiment garder le contrôle sur leur environnement en s’organisant pour ce faire. Elles seront en général assez prévoyantes, n’aimant pas prendre des risques et concevront des procédures pour les éviter. Ce seront certainement des personnalités solides et indépendantes dans leurs actions.

Cela peut bien entendu encore une fois prendre des formes différentes. Puis cela dépendra du rapport de force avec l’aspect Égaux, de l’équilibre général et des placements dans les piliers.

Symboliquement, Zheng Cai est la Terre meuble de JI dans laquelle l’arbre de JIA (MJ) plante ses racines en douceur, lentement mais profondément et dont il se nourrit.

C’est le soleil de BING, Feu Yang dont l’Eau Yin de GUI (MJ) tempère l’ardeur et qui en profite également. La chaleur et la lumière de BING créant souvent la brume.

C’est l’épée de GENG forgée par le Feu DING (MJ) qui déploie ainsi tous ses talents.

Pian Cai

Richesses Secondaires

Pian : incliné, retors, tordu…

Pian Cai signifie donc ce qui est acquis ou maîtrisé de manière oblique, forcée pour ne pas dire douteuse. Ce sont les Richesses Indirectes (Ri.Ind) ou les Richesses Secondaires.

Les Richesses de même polarité que le MJ s’opposent à lui, elles lui résistent et demandent des conditions pour être contrôlées. Avec l’aspect Richesses, cette relation indirecte n’implique pas forcément de l’effort à fournir mais plutôt une dimension d’imprévisibilité. Pian Cai a quelque chose d’inattendu et d’inopiné, quelque chose de fortuit. La planification, propre à l’aspect Richesses, est bien toujours présente mais fait grand place cette fois-ci au destin, à la chance et au hasard. Pian Cai pense souvent en termes de “on verra bien”, “advienne que pourra !”. Comme elles n’acceptent pas d’emblée le contrôle du MJ, les Richesses Secondaires ont une conduite bien plus libertaire que les Richesses Primaires plus dociles.

En termes d’argent, c’est ce qu’on reçoit de manière inopinée, sous forme d’héritage ou de gains à la loterie par exemple. Ce ne sont pas des avantages produit par un travail, au sens conventionnel du terme mais une fortune événementielle advenant lorsque des causes et des conditions non maîtrisées apparaissent. Cela peut représenter aussi des gains illicites ou mal acquis, aux origines douteuses.

Si l’on utilise le prisme de la confiance en soi, Pian Cai en a beaucoup mais c’est une confiance téméraire qui semble bien irresponsable. C’est un excès de confiance qui peut mener à de lourdes pertes mais qui porte aussi à ne pas en être trop affligé, la chance reviendra !

S’agissant de la sociabilité, il y a dans les Richesses Indirectes quelque chose de flambeur, de rocambolesque et de l’ordre du sensationnel. Pian Cai est bruyant, toujours en train d’essayer d’attirer l’attention car il a besoin de public.

“Qui ne tente rien n’a rien”. Pour Zheng Cai nous avons utilisé l’image du compte épargne, en ce qui concerne Pian Cai c’est celle de la table de casino qui s’impose. Cette déité porte à mettre carte sur table, à faire tapis et tenter le quitte ou double. Les économies ne sont pas placées sagement dans un investissement à long terme qui les fait fructifier, elles sont jetées sur la table de la roulette. Il y a beaucoup de prise de risque dans Pian Cai. Les gains espérés sont gros et immédiats et il y a de fortes chances qu’ils soient remisés dans la foulée. C’est une fortune instable et temporaire, ce sont des Richesses volatiles, difficile à conserver.

Ce dernier point décrit une nature avec un attachement beaucoup plus faible à l’argent et aux possessions. Si on reprend la caricature de tout à l’heure, Pian Cai n’est pas le gros et riche notable mais son fils indiscipliné qui dilapide la fortune familiale dans des fêtes et des jeux de hasard, de manière insouciante.

Il y a toujours du contrôle dans les Richesses Secondaires, qui peut mener à la manipulation s’il est appliqué avec excès mais cette fois ci c’est de l’ordre de la roublardise, voire de la duperie. On fait un coup, un seul, puis on cherche une autre cible. Pian Cai est le dandy de la famille, un peu escroc, un peu filou.

Mais ne dressons pas non plus un portrait trop sombre avec ces personnages de fiction. Les Richesses Indirectes induisent beaucoup plus de générosité que les Richesses Principales. Leur sociabilité et leur attachement moindre à l’argent les anime d’une fraternité dont leur homologue Zheng Cai est bien souvent dénué. Il y a dans Pian Cai un compagnonnage valeureux qui peut être héroïque.

Cette déité représente la Richesse personnelle dépendant des opinions des autres. Le référentiel est extérieur et c’est d’ailleurs la conséquence de sa volatilité. C’est un peu le dernier qui parle qui a raison, les courants et les modes passent et influencent fortement Pian Cai. L’image que la société porte sur elle est très importante à ses yeux. Elle manque d’indépendance et de constance et peut paraitre frivole et superficielle, mais c’est aussi un caractère ouvert et empathique, qui peut être tout simplement très agréable si tant est qu’on se protège un peu de son inconstance.

A l’aide de toutes ces descriptions, on peut facilement se faire une idée des traits de caractère induits par des Richesses Indirectes fortes dans l’équilibre élémentaire d’une personne. Ce sont des sujets très sociaux qui sont portés naturellement à exposer leurs talents aux yeux de tous dès qu’ils en ont l’occasion et ceci souvent avec une forte prise de risque pour eux. Ces personnes cultivent leur image, elles font parler d’elles, bruyamment si cela est possible. Ce sont des caractères prédisposés à aller là où les autres ne vont pas, à s’enhardir vers ce que nul n’ose faire, cela souvent bien malgré eux et pas toujours pour leur propre intérêt. S’ils réussissent, ils deviennent fameux, s’ils échouent, on considérera leur comportement comme erratique. Si Pian Cai est une influence forte en pilier du mois ou de l’année, la dimension sociale sera d’autant plus développée.

Il ne faut bien sûr pas prendre cela au pied de la lettre encore une fois. Chaque déité est un ingrédient, c’est l’association de toutes celles qui composent la carte qui fait la recette de la personnalité.

Si l’on reprend le regard symbolique, Pian Cai peut être WU, Terre Yang pour un MJ JIA, Bois Yang. C’est l’image de l’arbre qui essaie de s’accrocher aux rochers de la falaise. Il prend des risques, ce n’est pas facile mais s’il réussit on ne verra que lui.

C’est le MJ GUI qui tempère le Feu Yin de DING et le garde sous un contrôle puissant. Si l’Eau Yin abuse trop de son action, elle éteint le Feu et risque de tout perdre.

C’est l’épée de GENG sous le soleil d’un MJ BING qui peut la faire briller mais qui en expose aussi toutes les imperfections aux yeux de tous.

Commentaires : 2

  1. Murielle dit :

    C’est ce que j’ai lu de plus complet sur les « Richesses » ! Ça m’a permis de comprendre certaines choses concernant des thèmes que j’étudie, un grand merci!
    En ce moment je travaille sur le thème de Mozart, qui est très concerné par Pian Cai, c’est le moins que l’on puisse dire! Ce qui correspond bien à son côté « flambeur », il menait un grand train de vie et a accumulé beaucoup de dettes…et il dépendait évidemment de l’opinion qu’on avait de lui, il était payé si sa musique était appréciée… Très parlant!

    • ekayan@admin dit :

      Merci pour vos appréciations Murielle.
      Oui, W.A. Mozart est un excellent exemple de la déité Pian Cai en excès qui porte souvent justement à beaucoup d’excès.

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